Arkandle Bougies et Fondants

L'Éveil

Ah, parce qu’il y a une introduction ? Eh bien oui, il y en a une. Cela m’a semblé pertinent, étant donné que cette page sera sans doute la plus singulière du site. C’est toujours agréable de savoir où l’on met les pieds, non ?

Je disais donc : cette page aura un caractère un peu particulier, aussi bien dans son fond que dans sa forme. Le reste du site ? Il ne m’appartient pas entièrement. Il y a des contraintes : des cadres à respecter, des codes à suivre. Mais ici, c’est différent. Ici, j’écris comme ça me vient, sans filtres. C’est mon espace. Alors, si je décide d’écrire « tartelette », je l’écris. Voilà, c’est aussi simple que ça.

Un peu d’authenticité, ma bonne dame, ça ne fait de mal à personne.

Rassurez-vous, la suite sera un peu plus structurée. Il faut bien que je me présente, que je vous raconte d’où Arkandle est né et, surtout, où tout cela nous mène.

Il se pourrait même que j’en profite pour glisser quelques remerciements, parce qu’Arkandle, ça n’a pas été un long fleuve tranquille. Sans le soutien de certaines personnes, rien de tout cela n’existerait aujourd’hui. Alors, oui, il y aura des parenthèses pour eux aussi.

Allez c’est parti !

Bonjour !

Je m’appelle Quentin, alias Methrelda. J’ai la trentaine, et j’ai décidé de me lancer dans l’aventure de la micro-entreprise après avoir quitté mon poste salarié. Et non, je ne vais pas m’étendre sur le sujet. Ceux qui savent, savent (Sauron, même). Pour les autres, disons simplement qu’être manager au Mordor, ce n’est pas ce qu’on appelle une situation d’avenir.

Je ne vais pas vous réciter mon CV. La seule chose à retenir, c’est que j’ai un talent. Comme tout le monde d’ailleurs, je suis loin d’être exceptionnel. Le mien ? Concevoir des univers médiévaux fantastiques. Il y en a qui brillent dans le Bitcoin ; moi, c’est ça. On fait avec ce qu’on a.

Je ne sais pas vraiment d’où cela me vient, mais c’est là. J’imagine que c’est parce que j’ai grandi entouré de ces univers, notamment grâce à la littérature. Tolkien, Pratchett, Czajkowski… autant de noms qui m’ont bercé. Puis il y a eu les jeux vidéo : presque tous les RPG médiévaux fantastiques y sont passés. Et bien sûr, le jeu de rôle papier.

Pour ceux qui ne connaissent pas, le jeu de rôle papier, c’est un peu l’ancêtre des RPG sur PC ou consoles. On y joue avec des dés, des feuilles de personnage et beaucoup d’imagination. Et là, j’entends au fond : « Ah oui, ce truc de nerds, là, Donjons et Dragons. » Eh bien oui, c’est ça, un très bon exemple même.

Cela dit, le jeu de rôle s’est énormément démocratisé aujourd’hui. Si vous avez des enfants, ou même si vous n’en avez jamais fait vous-même, foncez si l’occasion se présente ! C’est un remède contre la timidité très efficace.

Sur le plan scolaire, j’ai fait des études de sciences. Un choix un peu contradictoire quand on est plutôt littéraire, mais bon, c’est fait. Et puis, la science, c’est fascinant, non ? D’ailleurs, ça m’a été utile pour Arkandle.

Côté loisirs, vous l’avez deviné : les jeux vidéo, modifier des jeux vidéo, l’informatique… et réparer de l’électroménager. Vous avez dit geek ? Ah non, pas du tout… 😊

Je pratique aussi le tir à l’arc, sur des cibles, avec un genre de longbow tradi.

Et enfin, je vis pour apprendre. C’est clairement ce qui me motive à me lever le matin. Chaque jour, j’apprends quelque chose : ça peut être purement intellectuel ou totalement manuel. J’aime accumuler des connaissances et des savoir-faire. D’ailleurs, là encore, ça m’a beaucoup servi pour Arkandle.

Et oui, parce que jusqu’ici, je n’ai pas parlé de bougies ! Un comble pour une boutique de bougies, n’est-ce pas ?

Les bougies, ça vient d’un de ces moments étranges où j’ai envie d’apprendre quelque chose de nouveau, et c’est tombé là-dessus. À l’époque, j’étais encore étudiant. Je suis tombé sur un site qui vendait du matériel pour bougies et je me suis dit : « Allez, pourquoi pas ? »

Mais rien à voir avec Arkandle à ce moment-là. Je fabriquais de grosses bougies type cierges, en paraffine, teintées avec du colorant et parfumées avec du premier prix. Eh oui, il faut bien commencer quelque part. Ne me jugez pas… c’était en 2013.

Cela dit, j’en garde un bon souvenir. Ça m’avait beaucoup plu et, surtout, j’y ai appris des leçons essentielles. Par exemple, que les températures, c’est très important (VRAIMENT). Et aussi, que renverser de la cire liquide dans l’évier d’un appartement étudiant n’est pas… disons, optimal pour évacuer l’eau des pâtes.

Faisons un saut dans le temps : nous voici en 2020. J’ai quitté mon emploi salarié, et me voilà au chômage.

J’ai profité de cette période pour réfléchir à ce que je voulais faire, professionnellement parlant. Et, pour un tas de raisons, j’ai fini par admettre qu’il fallait que je monte ma propre entreprise. Ce n’est pas forcément évident, surtout quand on n’a pas d’exemple autour de soi, ni dans la famille ni parmi les proches. Il faut apprendre à se débrouiller.

Je crois qu’il m’a bien fallu deux ans pour que le projet mûrisse. L’idée d’intégrer un univers fantastique est apparue presque immédiatement, comme une évidence. Mais le reste, ah, ça a pris du temps.

Je ne compte plus les heures de tests, d’essais en tout genre. Et je ne compte pas non plus les heures que ma compagne a passées à réfléchir et conceptualiser les produits avec moi. Parce que oui, il a fallu tout apprendre. On ne se rend pas compte du nombre de compétences qu’il faut maîtriser pour lancer une boutique en ligne.

Je vous épargne la liste, mais je peux vous dire que mes facilités en informatique m’ont été d’une aide précieuse, notamment pour le site. Et mes solides bases en chimie m’ont beaucoup aidé à naviguer dans les méandres des réglementations.

Aujourd’hui, nous sommes en décembre 2024. Arkandle est éveillée. Elle est vivante… vivaaaaante !

Les bases sont là :

  • Univers médiéval fantastique : Check
  • Produits éthiques : Check
  • Parfums de qualité : Check

Mais soyons honnêtes : nous sommes encore loin d’avoir atteint l’objectif. Arkandle vient à peine de naître. Et comme tout nouveau-né, elle doit grandir, s’épanouir.

Nous avons une multitude de projets qui attendent de voir le jour avant que l’on puisse véritablement parler de réussite. Mais pour cela, il faut pouvoir les financer. Et pour ça, eh bien… il faut que des gens, comme vous par exemple, craquent pour nos magnifiques produits. Oui, vous !

Pour nous, c’est une évidence : Arkandle doit maintenant développer sa personnalité, et cela passera par son univers.

L’un des objectifs prioritaires est le développement du projet « coffret » (voir ici). L’idée ? Proposer un véritable voyage dans notre monde, pas juste un aperçu, mais une immersion totale, à travers les yeux de Nargal.

Ce qu’il faut retenir, c’est que si Arkandle est une aventure pour nous, elle doit aussi en devenir une pour nos clients.

En parallèle, d’autres produits verront le jour. Tous tourneront autour du parfum, mais pas forcément autour des bougies… Je n’en dis pas plus. Car plus, ce serait de trop.

Nous y voilà : les remerciements. Et il y en a beaucoup, car Arkandle est un projet personnel qui, sans soutien, n’aurait jamais vu le jour.

En premier lieu, ma compagne. Sans sa créativité, sa détermination et sa capacité quasi divine à me supporter quand je râle, Arkandle n’existerait tout simplement pas. Merci, Julie, pour ton aide indéfectible (je précise : j’écris ça de mon plein gré, promis 😊).

Ensuite, nos parents. Leur soutien a été indispensable. Sincèrement, sans eux, les choses auraient été bien plus compliquées. Merci du fond du cœur.

Un grand merci également à mes amis et à ma famille, qui, à travers les préventes de cet été, nous ont offert un énorme coup de pouce. En plus de l’apport financier, ces ventes nous ont permis de tester nos produits, de recueillir des retours précieux et d’affiner nos processus de fabrication. Merci à eux d’y avoir cru dès le départ.

Un remerciement tout particulier à Aline, la dessinatrice de notre logo. Je ne sais pas si elle s’en est rendu compte, mais elle a su trouver les mots justes pour me remotiver à un moment critique. Merci, Aline, pour ton talent et ton soutien.

Enfin, nous tenons à remercier nos trois chats, qui, dans leur infinie magnanimité, nous permettent de vivre sous leur toit et de mener cette aventure, à condition bien sûr de leur fournir des croquettes au poulet.

Bibouille, Azazelle et Ezequiel, merci.